Le millésime
Encore un millésime qui a su se différencier de ses prédécesseurs. On a cru repasser sur un millésime dans la norme, avec un début d'année assez frais et une vigne qui avait 2 semaines de retard par rapport aux années précédentes. Mis à part des cumuls de pluies assez faibles, on partait pas mal.
En avril, des gelées matinales en tout début de mois ont impacté nos terroirs précoces. Fort heureusement les secteurs les plus gélifs n'étaient pas encore débourrés (taille tardive). La suite est assez simple, très peu d'eau et beaucoup de soleil jusqu'aux vendanges. En très peu de temps la vigne a regagné son retard. Une gestion phytosanitaire assez sereine. Les équipes ont dû se consacrer à l'arrosage des jeunes vignes pendant une bonne partie de l'été pour limiter les pertes. Les vendanges ont été très précoces pour nos blancs secs (17/08) mais pour les liquoreux il a fallu attendre l'humidité pour lancer le travail du botrytis. Une première trie pour sauver les dégâts occasionnés par le soleil. Ensuite grâce à quelques épisodes pluvieux, les choses ont enfin pu démarrer jusqu’à s'emballer sur la fin. Quasiment aucuns déchets, avec des journées où les degrés finissent par ne plus s'arrêter, même les raisins des parcelles moins qualitatives ont enfin réussi à atteindre le chai.
En avril, des gelées matinales en tout début de mois ont impacté nos terroirs précoces. Fort heureusement les secteurs les plus gélifs n'étaient pas encore débourrés (taille tardive). La suite est assez simple, très peu d'eau et beaucoup de soleil jusqu'aux vendanges. En très peu de temps la vigne a regagné son retard. Une gestion phytosanitaire assez sereine. Les équipes ont dû se consacrer à l'arrosage des jeunes vignes pendant une bonne partie de l'été pour limiter les pertes. Les vendanges ont été très précoces pour nos blancs secs (17/08) mais pour les liquoreux il a fallu attendre l'humidité pour lancer le travail du botrytis. Une première trie pour sauver les dégâts occasionnés par le soleil. Ensuite grâce à quelques épisodes pluvieux, les choses ont enfin pu démarrer jusqu’à s'emballer sur la fin. Quasiment aucuns déchets, avec des journées où les degrés finissent par ne plus s'arrêter, même les raisins des parcelles moins qualitatives ont enfin réussi à atteindre le chai.
Cépages
Sauvignon blanc : 55%
Sémillon : 45%
Sémillon : 45%
Dégustation
Au nez des notes de thym, de citron, d'agrumes verts comme le combava et le citron vert. L'ensemble est légèrement fumé et vanillé avec un côté végétal frais.
L'attaque est vive et fraîche avec un aspect très minéral et crayeux. Bouche franche et vive, légèrement toastée, avec une finale saline prolongée par une douce amertume de pamplemousse.
L'attaque est vive et fraîche avec un aspect très minéral et crayeux. Bouche franche et vive, légèrement toastée, avec une finale saline prolongée par une douce amertume de pamplemousse.